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Publié par pascalemmanuel

Après deux semaines sans regarder le net, quelques informations vaccinales petite revue parmi tant d'autres... 

 

Et ci-dessous, une vidéo sous titrée du Docteur Coleman, édifiante, un peu terrible qui m'a posé une sorte de question de conscience. Si quelqu'un devait mourir, est-ce qu'il est préférable de le lui dire ou au contraire, de le laisser dans la paix ?

Car cette vidéo est assez inquiétante, pessimiste et je me suis demandé si pour l'essentiel des gens, les jeux n'étaient pas déjà faits ; vaccinés-non vaccinés,  sauf à la marge, les choix sont posés. Plus rien ne me fera changer d'avis et inversement, pour les personnes vaccinées, il est peut-être déjà trop tard pour faire marche arrière. 

Malgré tout, la porte reste ouverte vers un nouvel élément qui pourrait combler le gouffre qui semble couper le monde en deux...

Si cet élément existe, il ne peut être que spirituel, de l'ordre d'une conscience nouvelle, faite d'une joie vraie, qui se moquera, impertinente, de nos limitations, de nos impossibles... 

Et puis une réponse pleine d'humour, savoureuse et délicieuse...

Nous cherchons des réponses "sérieuses, "intellectuelles, sociales, politiques, argumentées, rigoureuses et patati et patata..."

Et si c'était ça, la solution vraie ? La réponse désarmante d'un enfant impertinent et moqueur...

Aphorisme 76 — L'Europe se vante de son organisation et de son efficacité pratiques et scientifiques. J'attends que son organisation soit parfaite, alors un enfant la détruira. 

Question de Satprem :

Quand on a publié ces aphorismes dans le "Bulletin", tu avais dit d'omettre celui-là. C'est un aphorisme assez mystérieux — que j'aimerais bien comprendre, d'ailleurs. Mais je voudrais savoir si, maintenant, nous devons le publier ou non ? 

Mère : Où avait-il écrit cela ? 

Satprem : Dans les aphorismes. 

Oui, mais il n'a pas écrit un livre spécial : ces textes ont été ramassés ici et là. 

Non, non, pas du tout. Sri Aurobindo avait un cahier spécial dans lequel il mettait ces aphorismes au fur et à mesure. Et celui-là se trouvait au milieu d'autres. 

(Après un silence) 

"Un enfant"... Qu'est-ce qu'il avait mis en anglais, au début ? 

"Prides herself ". 

Se vante... 

Moi, je le mettrais. 

Mais qu'est-ce qu'il a voulu dire ? 

Je ne sais pas. 

Naturellement, ce ne peut être que le pouvoir qui est détruit, parce que la terre, on ne la détruit pas. 

Oui, on ne détruit pas la terre, mais une civilisation, on peut la détruire. 

Oui. 

Il dit : l'Europe sera détruite. 

Oui... Mais quel enfant ? 

J'ai l'impression que c'est venu comme quelque chose d'absolument vrai, une prédiction absolument vraie — mais je ne sais pas. 

Tu avais dit qu'il valait mieux l'omettre. 

Mais maintenant, au contraire, j'ai l'impression qu'il faut le dire. 

Mais je ne pense pas que le temps soit encore venu — "venu", je veux dire pour la réalisation ; le temps est venu de le dire mais pas pour la réalisation. 

"L'enfant"... peut-être est-ce l'enfant du Nouveau Monde — avec un sourire, il va faire écrouler tout cela. 

Oui, c'est possible — c'est possible.

(silence) 

Ça contient une puissance effrayante... quelque chose de formidable. Tu n'imagines pas le pouvoir qu'il y a là- dedans, c'est vraiment comme si le Divin lui-même parlait : "J'attends"... I am waiting... 

Agenda de Mère du 11 décembre 1971

 

 

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