Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Publié par pascalemmanuel

Quelques extraits de 12 années avec Sri Aurobindo de Nirdodbaran m'ont interpellé...

Il s'y trouve de nombreux détails biographiques que j'ignorais et j'ai particulièrement été intéressé par le chapitre sur son action pendant la guerre. Cela rejoint un autre livre, très rare, sur l'action occulte de Sri Aurobindo-Mère avec des témoignages très forts issus entre autre, des mémoires de Winston Churchill, d'un prisonnier roumain torturé aidé par Sri Aurobindo ou d'un militaire américain merveilleusement guidé lui aussi par Sri Aurobindo... 

Voyons quelques extraits du livre de Nirodbaran et quelques commentaires personnels ici et là :

Voyons maintenant quelques extraits du livre de Nirodbaran et quelques commentaires personnels ici et là :

Page 64

La « bibliothèque » où chacun pouvait lire les journaux fut appelée « mensonge », et cependant les sâdhaks conservaient toute liberté de les lire. 

Comme quoi, avec l'intense propagande médiatique sur la COVID, la situation ne s'est pas franchement améliorée avec les années. Et cela ne manque pas d'humour 😊

Page 113

Un sâdhak, en voyant Hitler traverser l'Europe comme un météore, s'adressa au Gourou en criant de désespoir : « Où est le Divin ? Où est votre parole d'espoir ? » Sri Aurobindo répondit calmement : « Hitler n'est pas immortel ! » Ce fut alors la fameuse bataille de Dunkerque et la dangereuse retraite où toute l'armée des Alliés fut exposée à l'attaque de l'ennemi sur terre et dans les airs sous le soleil brillant de l'été. Tout d'un coup, un brouillard surgit de nulle part et protégea l'armée en retraite d'une manière inattendue. Nous lui dîmes : « Il semble que le brouillard a favorisé l'évacuation. » Et Sri Aurobindo de remarquer : « Oui, le brouillard est plutôt rare à cette époque. »  😊

Page 119

Le 29 décembre 1940, Savarkar fit un discours dans lequel il dit que les Anglais ne pouvaient pas être battus. Sri Aurobindo répliqua : « c'est une absurdité. Ils furent sauvés par l'intervention divine. Ils auraient été écrasés si Hitler avait envahi l'Angleterre au bon moment après la chute de la France. »

Pourquoi le Divin n'est-il pas intervenu en France ? demanda l'un d'entre nous.

Sri Aurobindo : Parce que les Français étaient corrompus et n'étaient pas capables de résister. Il restait encore aux Anglais quelque-unes de leurs vieilles vertus qu'il était possible d'appuyer. La Mère a dit : « Les Français ont trahi la Tchécoslovaquie et par là-même se sont condamnés. »

De même, lorsque la France, après la chute de Dunkerque, rejeta la proposition de Churchill en vue d'établir une citoyenneté commune pour l'aAngleterre et la France de sorte qu'elles puissent poursuivre le combat comme un seul pays, la Mère sembla considérer ce fait comme un rejet de la Grâce divine qui était venue aider la France au moment le plus opportun. Le discours tout entier de Churchill fut dicté d'une manière occulte par la Mère, nous a-t-on dit.

Ce passage me touche et je sens une profonde tristesse. Mais je crois que c'est important de méditer cette histoire, pour en tirer si possible une leçon de choses... 

Page 122

20 mai 1940

– La déclaration de Hitler qu'avant le 15 août la guerre doit être finie et qu'on doive se mettre d'accord pour faire la paix semble significative.

Sri Aurobindo : C'est le signe qu'il est l'ennemi de notre travail. Et considérant les valeurs, principalement spirituelles, impliquées dans le conflit, il devrait être tout à fait clair que ce qui est derrière lui est le pouvoir asourique, titanique.

– C'est étrange, la manière dont il prend ses décisions.

Sri Aurobindo : Ce n'est pas lui qui prend les décisions. L'être derrière lui décide... Cet être vient ici de temps en temps et voit quel genre de travail se fait.

– Il sait que le travail ici est contre ses propres intérêts ?

Sri Aurobindo : (riant) Bien sûr !...C'est un être très puissant. Paul Richard était en communion avec cet Être, et les plans et les méthodes exposés dans son livre Le Seigneur des Nations sont les mêmes que ceux qu'il utilise aujourd'hui. Il dit que la civilisation actuelle doit être détruite, mais en fait, c'est la destruction des valeurs humaines de la civilisation qui est visée et en Allemagne Hitler l'a déjà fait... Il a détruit ces valeurs partout où il est passé.

Les êtres humains, par eux-mêmes, ne sont pas de taille à lutter contre les Asouras...

Dans le cas d'Hitler, ce n'est pas une influence, mais une possession, peut-être même une incarnation. Le cas de Staline est identique. Le monde vital est descendu dans le physique. C'est pourquoi les intellectuels deviennent perplexes devant la destruction de leur civilisation, de toutes les valeurs qu'ils avaient chéries et qu'ils représentaient. Comme ils nient l'existence du monde qui est au-delà du physiques, ils ne peuvent qu'être perplexes.

Ces dernières paroles sur les intellectuels confirment mon sentiment que beaucoup "d'élites universitaires", apparemment ne comprennent pas, ne voient pas... la situation telle qu'elle est et sont prisonniers de la vision qu'on leur a inculqué. Cela me paraît évident pour la question européenne, la question de l'euro, d'autres sujets encore, et ce fut le cas aussi pour la pseudo crise sanitaire... 

Certes, tous les humains sont un peu comme cela, mais il me semble que, sauf exception, plus le bagage intellectuel est conséquent, plus le regard est dogmatique. Il est temps de remplacer le gouvernement de l'intellect par le gouvernement de la conscience. 

Et puisque l'Asoura souhaite détruire les valeurs de la civilisation européenne, et que le remède est au coeur du mal, il est temps de s'interroger sur ces valeurs, afin de les retrouver et de les incarner. 

Page 126

Il est intéressant de noter ici comment la Mère aida des gens, même individuellement, de manière occulte pendant la guerre. Je le tiens de la sâdhikâ dont j'ai cité des propos ailleurs. « Un jour, me dit-elle, nous parlions de la transe de la Mère, en sa présence. Elle écoutait avec un sourire amusé. Son assistante personnelle disait : « Vous ne savez pas dans quelle situation embarrassante je me trouvais parfois. Tenant à la main un verre d'eau que je lui avait donné à boire, la Mère entrait en transe et son corps se balançait d'un côté à l'autre, et je devais attendre et attendre. C'est ainsi qu'à n'importe quel moment, elle s'en allait quelque part dans sa transe. »

Alors la Mère expliqua : « Pendant les années de guerre, les gens m'appelaient dans leur grande détresse et je leur apparaissais immédiatement, laissant tout derrière moi. » « Mais Mère, lui disais-je, les gens ne te connaissent pas. » « Me regardant, elle répliqua : « Cela n'a pas d'importance. Où que ce soit, quand les gens appellent le Divin, sous n'importe quelle forme, je réponds à leur appel.

Je vais vous dire ce qui est arrivé un jour. Les Allemands bombardaient copieusement la France. Deux enfants, frère et sœur, étaient allés à l'école. Quand ils revinrent, ils ne purent retrouver leur maison qui était détruite, ni leurs parents qui étaient ensevelis. La sœur ainée s'agrippa à son frère et commença à appeler ses parents et le frère tremblait de peur comme une feuille. Soudain, un appel à Dieu m'arriva, surgissant du fond du cœur. Je devais y aller immédiatement. Après m'être occupée d'eux, je revins.

C'est super émouvant et me rappelle le fameux épisode de la grande robe d'argent au-dessus de Paris, alors que Mère n'avait que 13 ans. 

Voir le PDF de Prières et Méditations à la date du 22 février 1914 (Page 89)

Page 136

« Vinrent alors les fameuses propositions de Cripps. Dans la soirée, de Delhi, Sir Stafford Cripps annonça a la radio ses propositions au peuple indien ; elles furent discutées partout. Dans la chambre de P. un poste de radio fut installé et branché dans la chambre de Sri Aurobindo de manière qu'il puisse entendre les nouvelles de guerre et les rapports detousles coins du globe, sauf des zones de l'Axe.

Le jour suivant, aux environs de 14 heures, après les nouvelles données par All India Radio, il y eut une discussion animée dans la chambre de P. entre trois sâdhaks, dont P.  ...La discussion devint de plus en plus animée, tant et si bien que la Mère, qui allait de sa salle de bains à sa chambre, fut attirée par le volume sonore inhabituel....

Alors, elle entra et demanda : « Pourquoi ? » ...Elle dit à peu près : « On doit laisser le contenu de l'offre de Cripps entièrement entre les mains du Divin, avec une confiance entière que le Divin s'en chargera. Certainement elle n'était pas parfaite. Rien de ce qui est crée par l'homme sur la terre n'est sans défaut, parce que l'esprit humain a des capacités limitées. Pourtant, derrière cette offre la Grâce est maintenant à portée de l'Inde, prête à accorder son aide. Dans l'histoire d'une nation, de telles occasions n'arrivent pas souvent. La Grâce se présente à de rares moments après des siècles de préparation de la nation. Si elle est acceptée, la nation survivra et obtiendra une nouvelle naissance dans la Conscience divine. Mais si elle est rejetée, la Grâce se retirera et alors cette nation souffrira terriblement, submergée par les calamités.

« Il y a seulement quelques mois, la même Grâce s'est présentée aux portes de la France, immédiatement après la chute de Dunkerque, sous la forme de l'offre de Churchill d'une nationalité commune avec l'Angleterre pour combattre l'ennemi. Sri Aurobindo a dit que c'était une idée juste et qu'elle aurait aussi immensément aidé son travail. Mais la France ne put s'élever au-dessus de sa conscience ordinaire et la rejeta. Aussi la Grâce se retira-t-elle et l'âme de la France a sombré. Nul ne sait quand la vraie France se relèvera de nouveau.

…/...

« Je demande ardemment à l'Inde de ne pas rejeter cette offre. Elle ne doit pas commettre la même erreur que la France qui est de descendre dans l'abîme. »

…/...

Mais le jour suivant, ou le surlendemain, le Congrès annonça qu'il avait rejeté l'offre. La Mère demeura impassible, elle dit simplement : « Maintenant les calamités vont s'abattre sur l'Inde. » Ce qui est arrivé en Inde depuis lors et jusqu'à maintenant se passe de commentaires. Nous continuons de payer le prix de notre erreur.

Là encore, je ressens cette même profonde tristesse... comme quand on a loupé le coche d'une occasion magnifique. Ce qui m'interpelle, c'est que, manifestement, personne a l'époque n'a reconnu la présence de la Grâce divine. Individuellement et collectivement, nous manquons de discernement ! Mince. Comment faire pour mieux voir, mieux sentir ? Et qui aurait crû qu'une telle erreur aurait de telles funestes conséquences.

Peut-être que le manque de discernement au point... d'avoir voté Macron, ou d'être dans un cruel aveuglement politique depuis tant d'années, vient du fait que... la lumière divine s'est plus ou moins retiré... et ça, c'est un peu terrible. Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant...

Et on voudrait tant que la maltraitance s'arrête, la Grâce, on en aurait bien besoin. Mais si Elle venait, cette fois-ci, est-ce que nous la reconnaitrions ? Savoir qu'elle peut venir et passer inaperçue, je trouve cela un peu terrible, presque terrifiant... On voudrait crier et dire : "Mais c'est pas possible d'être aussi con, aussi orgueilleux, aussi prétentieux..."

Un autre aspect du problème est que j'imagine que les êtres capables d'avoir ce discernement sont rarement au pouvoir. Ceux qui sont au pouvoir, les Olivier Véran, ce sont plutôt des requins arrivistes avec les dents qui rayent le parquet. Ce sont ces gens-là, souvent, qui "réussissent" en politique. Ou des gens très maniables prêts à mettre leur conscience au congélateur, prêts à mentir sans vergogne si nécessaire, à faire sans discuter ce que l'oligarchie mondialiste leur ordonne, même si c'est au détriment du bien commun, du bien public, même si c'est contraire aux intérêts du peuple qu'ils méprisent, contraire aux lois, contraires à la morale contraires à la décence. 

Mais qui sait le chemin de la Grâce et justement, un échec hier, fut-il. cuisant et cinglant, est peut-être le chemin le plus court d'un succès pour demain... 

En tout cas, ces extraits me secouent un peu et curieusement, cela stimule l'aspiration. Justement, le fait douloureux de  prendre conscience de son ignorance, de son infirmité... permet justement de se tourner mieux vers cette Grâce, d'être plus attentif, plus vigilant, de se corriger un peu... et rien que ce peu là, qui peut dire ce que cela entraînera... 

Les trois fleurs de la Grâce :

Operculina turpethum – Rose de bois

L'appel de la Grâce divine – Pas bruyant, mais persistant et très perceptible pour ceux qui savent écouter.

Saponaria officinalis – Saponaire officinale

Emploi juste de la Grâce octroyée – Pas de déformations, pas de diminutions, pas d'exagérations, une claire sincérité.

Hibiscus mutabilis – Hibiscus 

La Grâce Divine – Ta bonté est infinie, nous nous inclinons devant Toi avec reconnaissance.

Et quelques paroles :

La Grâce est quelque chose de spontané qui jaillit de la Conscience divine et s'écoule librement de son être. 

Sri Aurobindo Lettres sur le Yoga

*

Quelles que soient la foi et la confiance que l'on ait en la Grâce divine, quelle que soit la capacité que l'on ait de La voir à l'œuvre dans toutes les circonstances, à tout moment, sur tous les points de la vie, jamais on ne pourra arriver à comprendre l'immensité merveilleuse de Son Action, et la précision, l'exactitude avec laquelle cette Action s'accomplit ; jamais on ne pourra saisir à quel point la Grâce fait tout, est derrière tout, organise tout, conduit tout, pour que la marche en avant vers la réalisation divine soit aussi prompte, aussi complète, aussi totale et aussi harmonieuse qu'elle peut l'être, étant donné les circonstances du monde.

Dès que l'on est en rapport avec Elle, il n'est pas une seconde dans le temps, pas un point dans l'espace, qui ne vous montre d'une façon éclatante ce travail perpétuel de la Grâce, cette intervention constante de la Grâce.

Et une fois que l'on a vu cela, alors on sent que jamais on n'est à la hauteur de cela, parce qu'il ne faudrait jamais l'oublier, il ne faudrait jamais avoir des peurs, des angoisses, des regrets, des reculs, des... même des souffrances. Si l'on était en union avec cette Grâce, si on La voyait partout, on commencerait à vivre une vie d'exultation, de toute-puissance, de bonheur infini.

La Mère Entretiens 1956

*

Plus votre foi, votre sincérité et votre soumission sont complètes, plus la Grâce et la protection seront avec vous. Et quand la Grâce et la protection de la Mère divine sont avec vous, qu'est-ce qui peut vous toucher, ou qui avez-vous à craindre ? Un peu même de sa Grâce vous portera à travers toutes les difficultés, tous les obstacles et tous les dangers. Entouré de sa pleine présence, vous pouvez aller sans crainte sur votre chemin, car c'est le sien, peu soucieux de toutes les menaces, sans être affecté par aucune hostilité, si puissante soit-elle, qu'elle vienne de ce monde ou des mondes invisibles. Son contact peut tourner les difficultés en occasions, l'insuccès en succès et la faiblesse en force qui ne défaille point. Car la Grâce de la Mère divine est l'assentiment du Suprême et, tôt ou tard, son effet est sûr ; c'est une chose décrétée, inévitable et irrésistible.

Sri Aurobindo La Mère

*

Une foi et une confiance absolue en la Grâce est, en dernière analyse, la Sagesse Suprême.

La Mère

Et pour finir, nous pouvons utiliser ci-dessous,  l'Index de L'Agenda avec le mot clef "grâce divine", et et retrouver les passages où Mère en parle...  cela nous met en contact avec la vibration. 

Le lendemain, je reçois un message d'une amie qui m'a autorisé à le publier, ce que je fais car à mon goût, il apporte quelque chose de plus :

Oh, merci, Pascal,
Ce matin, justement, pendant ma concentration, m'est venue la situation de la France et je voyais toute cette pourriture, la lâcheté, l'arrogance, tout ce qui engendre l'impossibilité de s'unir, etc. toutes ces choses qui DOIVENT être nettoyées avant que quelque chose de vrai puisse émerger...  Toutes ces occasions ratées... Beaucoup de tristesse pour ce pays dont Mère disait que s'il était touché spirituellement, ce serait extraordinaire (je ne me souviens plus des termes exacts)...
Heureusement, nous on sait qu'il y a la Grâce, et que la Victoire du Divin est certaine, quel que soit le prix à payer...
Merci aussi de mentionner "Sri Aurobindo et Mère face aux forces noires". 
Bonne journée.
Bises
P.S. Tu dois savoir que les Carnets 16 sont sortis...

Extrait de L'Agenda de Mère du 3 Juillet 1963 dans lequel il y a une conversation à propos de la France.

(Peu après, il est question de la traduction anglaise du nouveau livre sur Sri Aurobindo :)

Je pense que E pourra trouver un public là-bas, surtout en Amérique – plus qu'en France.

Tous les gens en France qui ont un éveil, un besoin spirituel, ils se reprécipitent dans la religion catholique. C'est-à-dire que la pieuvre a encore beaucoup de pouvoir là-bas – beaucoup-beaucoup.

Il y a quelque temps, je ne sais plus à quelle occasion, je me suis souvenue du temps où l'on ne pouvait pas dire que la terre tourne, ni même qu'elle était ronde – on vous tuait! Tu imagines ça...

Tout de même, on a fait un bon bout de chemin.

/...

Satprem : Et d'une façon, je souffre de voir que le peu que je peux faire, par exemple ce livre sur Sri Aurobindo, ce n'est pas compris. En France, il y a un mur – ce n'est pas accepté, je n'entre pas, c'est bouché. Je souffre de cela. Et tous les gens que je connais là-bas, c'est la même chose, partout je rencontre le mur, l'incompréhension – c'est fermé-fermé-fermé.

(Long silence) 

Avec la qualité intellectuelle de la France, la qualité de son esprit, le jour où elle sera vraiment touchée spirituellement (elle n'a jamais été touchée spirituellement), le jour où elle sera touchée spirituellement, ce sera quelque chose d'exceptionnel.

Sri Aurobindo aimait beaucoup la France. Je suis née là-bas – il y a certainement une raison. Pour moi, je sais très bien : c'était la nécessité de la culture, de l'esprit clair, précis ; du raffinement de la pensée, du goût, et de la clarté d'esprit – il n'y a pas de pays au monde comme cela. Il n'y en a pas. Et Sri Aurobindo aimait la France à cause de cela aussi, beaucoup-beaucoup. Il disait que pendant toute sa vie en Angleterre, il aimait beaucoup plus la France que l'Angleterre !

Il y a une raison.

On verra.

Peut-être que les choses vont avancer un peu – j'ai l'impression, comme ça, que c'est en train de marcher. Seulement, il peut y avoir de la casse – chaque fois qu'on va vite, il peut y avoir de la casse. Les périodes de stabilité où les choses s'installent et s'étalent sont plus paisibles. Mais maintenant, c'est plus dangereux.

C'est plus dangereux.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article