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Publié par pascalemmanuel

Parmi toutes les personnalités qui nous ont régulièrement apporté leur éclairage sur la crise du Corona, Jean-Dominique Michel est pour moi l'une des plus percutantes.

J'ai trouvé cette dernière intervention passionnante de bout en bout et encore plus terrible que les précédentes. 

La première chose qui me touche beaucoup et que j'admire c'est sa capacité à dire des horreurs absolues en restant d'un calme parfait. Pour ma part, avec certains de ses propos, je trouve tellement fort, que l'émotionnel emporterait tout.

Par exemple, quand il explique la différence, par rapport au mensonge, entre un individu normal et... un autre, pour employer un euphémisme. Ainsi, toute personne saine, même face à un tout petit mensonge anodin sent en elle une petite culpabilité, il y a quelque chose dans la conscience qui nous titille. Or, pour ne citer qu'Olivier Véran, ces gens mentent absolument sans vergogne.

Ça, je ne sais pas pourquoi, mais cela me touche au plus au point, cela me tord les boyaux,  c'est insupportable. 

De même quand il rappelle la parole d'Albert Jacquard qui  mettait en garde contre la mise en place d'une société qui privilégiait toujours la compétition par rapport à la coopération. L'une des conséquences terribles est que les personnes réussissant à arriver au pouvoir sont des requins sans foi ni loi. 

Ce qui est très fort avec Jean Dominique Michel, à mon avis, c'est que, plus que de donner des informations brutes sur tel ou tel aspect de la question, c'est qu'il explique les mécanismes qui permettent de comprendre le processus qui à fait en arriver là.

Quoique, c'est aussi important d'avoir des données brutes, quand elles sont fiables, sur le nombre de personnes vaccinées, les effets secondaires etc...  

Puis, par rapport au livre de Peter Gotzsche qu'il cite au début Remèdes mortels et crime organisé, j'ai acheté ce livre et n'ai pu en lire que quelques chapitres tant... c'est dégueulasse. Et il y a, excusez du peu, plus de 60 pages de notes en annexe.

Aujourd'hui, nous prenons conscience de l'ampleur de la pourriture du milieu médical : "l'atmosphère médicale est dangereuse" nous dit Mère le 1er janvier 1969.

Nous connaissons la parole célèbre de Clémenceau : la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée aux militaires. En sommes-nous venus au temps ou la santé serait une chose trop sérieuse pour être confiée aux médecins ? Ou en tout cas, aux autorités de santé. 

Et puis, j'ai retrouvé le discours de Soljénitstyne à l'université de Harvard évoqué par  Jean-Dominique Michel dans sa vidéo. 

Je remarque que Sri Aurobindo, plus de 50 ans avant ce discours incroyablement prophétique parlait déjà de la chute de la civilisation occidentale. Quelques paroles fortes de ce discours visionnaire : 

Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant coureur de la fin ?

Cette compétition active et intense finit par dominer toute pensée humaine et n’ouvre pas le moins du monde la voie à la liberté du développement spirituel.

Aujourd’hui, le confort de la vie de la société occidentale commence à ôter son masque pernicieux.

Quand la vie est tout entière tissée de relations légalistes, il s’en dégage une atmosphère de médiocrité spirituelle qui paralyse les élans les plus nobles de l’homme.

De ce fait, la médiocrité triomphe sous le masque des limitations démocratiques.

L’organisation légaliste de la vie a prouvé ainsi son incapacité à se défendre contre la corrosion du mal…

Vos étudiants sont libres au sens légal du terme, mais ils sont prisonniers des idoles portées aux nues par l’engouement à la mode. 

On ne peut nier que les personnalités s’affaiblissent à l’Ouest, tandis qu’à l’Est elles ne cessent de devenir plus fermes et plus fortes.

Après avoir souffert pendant des décennies de violence et d’oppression, l’âme humaine aspire à des choses plus élevées, plus brûlantes, plus pures que celles offertes aujourd’hui par les habitudes d’une société massifiée, forgées par l’invasion révoltante de publicités commerciales, par l’abrutissement télévisuel, et par une musique intolérable.

Mais le combat pour notre planète, physique et spirituel, un combat aux proportions cosmiques, n’est pas pour un futur lointain ; il a déjà commencé. Les forces du Mal ont commencé leur offensive décisive. Vous sentez déjà la pression qu’elles exercent, et pourtant, vos écrans et vos écrits sont pleins de sourires sur commande et de verres levés.

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